DROITS
Seule la loi, votée par le peuple souverain ou ses représentant-e-s démocratiquement élu-e-s, peut imposer à chacun les bornes nécessaires afin que tous jouissent des mêmes droits. Elle permet aux libertés des uns et des autres de cohabiter plutôt que de s’opposer, de se renforcer, même en se limitant mutuellement, plutôt que de se détruire, d’être libres ensemble.
La charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits de l’Homme affirment l’égalité en droit et en dignité des femmes et des hommes.
Or dans tous les pays, à des degrés très différents, cette déclaration de principe n’est pas une réalité. Concernant l’accès aux revenus, aux droits et aux pouvoirs, l’inégalité se fait sentir à tous les niveaux et dans tous les groupes sociaux.
La Convention pour l’élimination de toutes les formes de discrimination envers les femmes (CEDAW) adoptée en 1979, réaffirme les droits inaliénables des femmes. Dans son préambule, la Convention reconnaît que "la discrimination généralisée contre les femmes existe toujours». Elle souligne qu'une telle discrimination "viole les principes de l’égalité des droits et du respect de la dignité humaine".
La Convention vise « toute distinction, exclusion ou restriction fondée sur le sexe qui a pour effet ou pour but de compromettre ou de détruire la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice par les femmes, quel que soit leur état matrimonial, sur la base de l’égalité de l’homme et de la femme, des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans les domaines politique, économique, social, culturel et civil ou dans tout autre domaine. » (Article 1er).
La Convention expose en détail les droits civiques et le statut juridique des femmes mais porte aussi sur la procréation ainsi que sur les incidences des facteurs culturels sur les relations entre les hommes et les femmes.
La Convention réaffirme le principe de l’égalité en demandant aux Etats parties de prendre "toutes les mesures appropriées, y compris des mesures législatives, pour assurer le plein épanouissement et le progrès des femmes en vue de leur garantir l'exercice et la jouissance des droits de l'homme et des libertés fondamentales sur la base de l'égalité avec les hommes" (art. 3).
Mais un grand nombre de pays signataires de la Convention le font en émettant, sous prétexte de traditions, de telles réserves contraires à l’égalité entre les hommes et les femmes et au respect de la dignité des femmes, que leur engagement n’a pas de sens.
La charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits de l’Homme affirment l’égalité en droit et en dignité des femmes et des hommes.
Or dans tous les pays, à des degrés très différents, cette déclaration de principe n’est pas une réalité. Concernant l’accès aux revenus, aux droits et aux pouvoirs, l’inégalité se fait sentir à tous les niveaux et dans tous les groupes sociaux.
La Convention pour l’élimination de toutes les formes de discrimination envers les femmes (CEDAW) adoptée en 1979, réaffirme les droits inaliénables des femmes. Dans son préambule, la Convention reconnaît que "la discrimination généralisée contre les femmes existe toujours». Elle souligne qu'une telle discrimination "viole les principes de l’égalité des droits et du respect de la dignité humaine".
La Convention vise « toute distinction, exclusion ou restriction fondée sur le sexe qui a pour effet ou pour but de compromettre ou de détruire la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice par les femmes, quel que soit leur état matrimonial, sur la base de l’égalité de l’homme et de la femme, des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans les domaines politique, économique, social, culturel et civil ou dans tout autre domaine. » (Article 1er).
La Convention expose en détail les droits civiques et le statut juridique des femmes mais porte aussi sur la procréation ainsi que sur les incidences des facteurs culturels sur les relations entre les hommes et les femmes.
La Convention réaffirme le principe de l’égalité en demandant aux Etats parties de prendre "toutes les mesures appropriées, y compris des mesures législatives, pour assurer le plein épanouissement et le progrès des femmes en vue de leur garantir l'exercice et la jouissance des droits de l'homme et des libertés fondamentales sur la base de l'égalité avec les hommes" (art. 3).
Mais un grand nombre de pays signataires de la Convention le font en émettant, sous prétexte de traditions, de telles réserves contraires à l’égalité entre les hommes et les femmes et au respect de la dignité des femmes, que leur engagement n’a pas de sens.
Publié le lundi, 15 octobre 2007 par Admin